György Ligeti : comportements d’une « téléologie négative »
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L’esthétique développée par le compositeur Hongrois György Ligeti dans la décennie 1960 fut en grande partie marquée par le questionnement du paradigme de la linéarité musicale, de la direction temporelle : en somme, de la « téléologie » musicale. Ce travail s’est basé sur l’analyse des comportements musicaux à l’intérieur de deux œuvres représentatives de cette période, Atmosphères (1961) et Lux aeterna (1966). En ayant par référence la notion d’« analyse immanente » de Theodor Adorno, cette recherche vise à problématiser autour de certaines catégoriques philosophiques et esthétiques telles que la micrologie, la notion de la monade liée à la forme, l’« universalité », la « transcendance » et la « négation », entre autres ; toutes des catégories qui émanent de l’analyse formelle de ces œuvres.
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