La perception du sonore et l’importance de la voix de la mère in utero et dans les premiers jours après la naissance du son et du sens
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Mémoires de Master RechercheCiter ce document
À propos
Le projet de ce travail n’est pas de dévoiler, de mettre à jour au risque de tout effacer, comme dans Fellini Roma, où un groupe de cameramen pénètre dans une caverne nouvellement découverte et nous montre des splendeurs de peintures en même temps que leur effacement provoqué par l’éblouissement des projecteurs.
Il s’agirait plutôt, s’inscrivant dans le projet d’Antoinette Fouque de fonder une « féminologie », une science des femmes, de dire ce que certains psychanalystes commencent peut-être à entendre, mais que la médecine souvent occulte, que les femmes, dans l’histoire de la gestation, ont leurs propres connaissances transmises depuis la nuit des temps, par la généalogie des femmes.
Espérer qu’un jour le suivi de la grossesse et l’accueil des femmes enceintes au moment del’accouchement seront enfin entourés de plus d’égards et de respect.
Ne plus jamais entendre une femme, ma mère, raconter l’horreur, l’infirmière, un genou sur son ventre pour “aider” à l’expulsion, les pincements pour faire sortir le placenta, ne plus jamais entendre une femme dire : « J’ai accouché comme une vache ».
La musique, enfin...
présente tout au long de mon enfance dans une pratique musicale vitale,
et celle, aujourd’hui, de mon métier de professeur de musique auprès d’enfants de Belleville, a, au fil des jours, accompagné ce mémoire.
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